Pesticides – Les résidus les plus fréquemment détectés dans notre alimentation

Les analyses de plus de 5 000 aliments, réalisées par les autorités françaises en 2020 et 2021, révèlent que la nourriture est, dans notre pays, contaminée par au moins 183 résidus de pesticides. Voici la liste de ceux retrouvés dans les 63 types de produits végétaux inclus dans notre Observatoire des pesticides.
2,4-D
Pour au moins une molécule incluse dans cette association de substances, l’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer un caractère perturbateur endocrinien. Le Circ la juge « cancérogène possible ».
2-Phenylphenol
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Acetamiprid
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Aclonifen
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Aldicarb
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Aldrin et Dieldrin
Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent une suspicion de cancérogénicité et classent cette substance comme toxique pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Ametoctradin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Azoxystrobin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Benzovindiflupyr
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Bifenazate
Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent un risque présumé d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Bifenthrin
Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent une suspicion de cancérogénicité et classent cette substance comme toxique pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée. L’Anses notait également, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer son caractère perturbateur endocrinien.
Bixafen
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Boscalid
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Bupirimate
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Buprofezin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Captan
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Carbendazim et benomyl
Pour ces deux molécules, l’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant leur caractère perturbateur endocrinien. Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent quant à elles une présomption de mutagénicité et de reprotoxicité.
Chlorantraniliprole
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Chlorfenapyr
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Chlormequat
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Chlorothalonil
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est de plus suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Chlorpropham
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Les agences réglementaires européennes reconnaissent de plus une suspicion de cancérogénicité et un risque présumé d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Chlorpyrifos
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Chlorpyrifos-methyl
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Clofentezine
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer une action de cette substance sur le système endocrinien. L’Efsa a d’ailleurs reconnu son caractère perturbateur endocrinien en août 2021.
Clothianidin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est également suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Cyantraniliprole
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Cyazofamid
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Cyflufenamid
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Cyfluthrin
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Cypermethrin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent également un risque présumé d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Cyproconazole
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Les agences réglementaires européennes reconnaissent de plus une présomption de reprotoxicité et de risque d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Cyprodinil
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Cyromazine
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Deltamethrin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Diazinon
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. L’Inserm fait état d’une présomption forte de lien avec le lymphome non hodgkinien (un cancer de la lymphe), et le Circ la classe « cancérogène possible ».
Dicloran
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Difenoconazole
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Diflubenzuron
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Dimethoate
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Dimethomorph
Cette substance est reconnue comme perturbateur endocrinien avéré par l’Efsa depuis mai 2023. Elle est de plus présumée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Dithianon
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Dithiocarbamates
Plusieurs molécules de cette famille ont été évaluées comme perturbateurs endocriniens avérés par l’Efsa et pour toutes les autres, l’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer un caractère perturbateur endocrinien. Deux molécules de la famille sont encore autorisées à date dans l’Union européenne : le metiram (évalué comme perturbateur endocrinien en 2023 par l’Efsa) et le ziram (en cours d’évaluation).
Ethephon
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Ethylene oxide
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent de plus une présomption de cancérogénicité, de mutagénicité et de reprotoxicité.
Etofenprox
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fenbuconazole
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Fenhexamid
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fenpropathrin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fenpropimorph
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Fenpyrazamine
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Flonicamid
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Fludioxonil
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fluopicolide
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Fluopyram
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Flupyradifurone
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Flutriafol
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fluxapyroxad
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fosetyl-Al
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Fosthiazate
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Glyphosate
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Haloxyfop
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Hexythiazox
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Imazalil
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Imidacloprid
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Indoxacarb
Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) classent cette substance comme toxique pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Isoprothiolane
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Lambda-cyhalothrin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Linuron
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est de plus suspectée de cancérogénicité et présumée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa). Ces dernières suspectent enfin une toxicité pour certains organes cibles en cas d’expositions répétées ou d’exposition prolongée.
Malathion
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer un caractère perturbateur endocrinien. Le Circ considère de plus le malathion comme un cancérogène probable.
Maleic hydrazide
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Mandipropamid
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
MCPA
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Mepiquat
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Metalaxyl
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant un caractère perturbateur endocrinien.
Methacrifos
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Metolachlor et S-metolachlor
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa). Pour au moins une molécule incluse dans cette association de substances, l’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer un caractère perturbateur endocrinien.
Metrafenone
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Oxyfluorfen
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Paclobutrazol
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est également suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Penconazole
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Pendimethalin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est également suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Permethrin
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Phosmet
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Piperonyl butoxide
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Pirimicarb
Cette substance est suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Pirimiphos-methyl
Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) classent cette substance comme toxique pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Prochloraz
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant un caractère perturbateur endocrinien. Cette substance a également été évaluée comme un perturbateur endocrinien avéré par une agence réglementaire danoise.
Procymidone
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Profenofos
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Propamocarb
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Propiconazole
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est de plus présumée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Propoxur
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Propyzamide
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est de plus suspectée de cancérogénicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Prosulfocarb
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Pyraclostrobin
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa). Ces dernières reconnaissent de plus un risque présumé d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Pyrimethanil
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Pyriproxyfen
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Mais l’Efsa concluait, la même année, que le pyriproxyfen n’était pas un perturbateur endocrinien au sens de la réglementation européenne.
Spinetoram
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa). Ces dernières reconnaissent de plus un risque présumé d’effets graves pour un organe cible à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée.
Spinosad
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Spiromesifen
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance.
Spirotetramat
Pour au moins une des molécules incluses dans cette association de substances, l’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer un caractère perturbateur endocrinien. Les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa) reconnaissent une suspicion de reprotoxicité.
Tebuconazole
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données fortes (observations chez l’humain, ou combinaison d’expériences in vivo et in vitro) suggérant le caractère perturbateur endocrinien de cette substance. Elle est de plus suspectée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Tefluthrin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Thiabendazole
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer une action de cette substance sur le système endocrinien. L’Efsa a d’ailleurs reconnu son caractère perturbateur endocrinien en mars 2022.
Thiacloprid
Cette substance est suspectée cancérogène et présumée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa). L’Efsa reconnaissait également dans son avis de 2019 que cette molécule « cause des effets indésirables sur le système endocrinien et reproductif ».
Thiamethoxam
Cette substance est suspectée de reprotoxicité par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Thiophanate-methyl
L’Anses notait, en 2021, l’existence de données expérimentales pouvant suggérer le caractère perturbateur endocrinien de cette substance et l’Efsa concluait, en 2018, qu’il s’agissait bien d’un perturbateur endocrinien. Cette substance est de plus suspectée cancérogène et mutagène par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Triadimenol
Cette substance est présumée reprotoxique par les agences réglementaires européennes (Echa et/ou Efsa).
Tricyclazole
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
Trifloxystrobin
À date, les agences réglementaires européennes (Efsa et Echa) ne reconnaissent pour cette substance aucun signe de danger pour la santé humaine, en dehors de toute exposition à une forte dose.
→ Observatoire des pesticides : Analyses portant sur plus de 5 000 produits